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Ces artistes ont aimé l'Espace Philia...
La Chanson ANNÉE Court métrage réalisé par tiphaine raffier. Barbara, Jessica et Pauline sont trois copines, qui se retrouvent tous les jeudis soirs dans un local de Val d’Europe pour répéter leur spectacle. | Cie La seconde Tigre « La Nuit Manquante # 1 » Un projet chorégraphique qui fait suite a un laboratoire de recherche – personne ne danse. J’ai réuni des danseurs, un créateur lumière et vidéaste ainsi qu’un créateur son, pour questionner ensemble, en expérimentant une forme de transe, la dualité corps savant – ou corps social / corps sauvage : Comment convoquer, accueillir ce corps sauvage, et comment ces deux corps cohabitent, se confrontent, se mêlent? | Compagnie La Folia « Même pas seul ! » “Ce duo, tout de tendresse vacharde possède une charge d’humanité qui lui donne plus qu’un simple rendez-vous réussi… émouvante, cette pièce possède un ton précieux car rare… la danse est d’une force phénoménale” |
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Compagnie La Folia « Fruition » Ressentir le mot, non plus comme signe d’un manque à être, mais comme « verbe » source d’être, tout aussi originel et palpitant que le mouvement de danse, quand il puise aux mêmes archaïsmes « aux mêmes enjambements du révolu par le devenir » quand il propulse vers la même joie. Ensemble, nous voulons « palper l’écorce et les racines » au même rythme vers la « chaonaissance »… et entrevoir la matière première du vivant ? | Compagnie La Folia « Danse avec mon père » Un jour, tu vois ton père au bord de n’être plus, son corps face au silence,tout seul pour sa dernière danse… D’une seule main tu le cueilles… Plus que toi et lui, les feuilles, la lumière et le vent. | Compagnie 13Azimut « Ce qu’il reste » Ce qu’il reste est un cri silencieux, qui résonne dans l’espace comme un appel. Vivre, ou plutôt comme une urgence de faire battre notre pulsion de vie, primaire et organique. Plonger, dériver, resurgir. L’équilibre est précaire, la lutte permanente, alors que reste-t-il ? |
L’Atelier Scène (1+1=3) «Celui qui ne connaît pas l’oiseau le mange…» C’est l’hypothèse d’un parcours initiatique à travers l’écriture qui induira l’idée de Passion, la Passion comme forme théâtrale. [… ] Polyphonie des temps, palimpseste des signes, il faut encore que l’esprit et le sens se dilatent, il faut que le corps et l’intellect puissent s’abandonner au fond de cette humanité mal explorée qui dort au fond de nous, à l’abri des rayons du jour, ne toucherons-nous pas notre votre substance | Compagnie Labkine « Collages » Le collage est une nouvelle prise de liberté qui permet de bousculer ces références afin de créer des mobilités nouvelles mais aussi de faire renaître, aux yeux du public, certaines chorégraphies fondamentales de l’histoire de la danse. | Ginkgo Biloba Théâtre « Élise ou la vraie vie » France 1957-58, en pleine guerre d’Algérie. Élise se souvient. On accompagne cette jeune provinciale dans son parcours à la découverte de la vie parisienne : nous passons de l’usine au cafés parisiens, aux chambres d’hôtels, aux déambulations dans les rues de Paris. |
Compagnie MAHU « BOVARY » Bovary, c’est la tragédie, l’heure de l’individualisme. C’est la question de la responsabilité individuelle. Peut-être que ce n’est pas la réalité, le destin ou l’environnement dans lequel on vit qu’il faut accuser, mais la manière dont on les vit. | Opéra Autrement « Take A Chance ! » Elle voit sa vie comme un film et n’a qu’une seule chose en tête : finir son spectacle coûte que coûte. Et ce n’est pas Cat, sa meilleure amie, ni John, celui qui fait battre son cœur, qui la feront changer d’avis ! Mais les temps sont durs et la voilà obligée d’accepter un job un peu spécial … Et la réalité la rattrape. Brutalement. | Compagnie MAHU « FADO » Les contraintes ne sont pas les mêmes pour la star de la variété que pour la caissière de supermarché, mais elles broient tout autant l’individu dans les deux cas. Du fado originel des bouges des bas quartiers de Lisbonne, celui d’Hélène Ségara, il s’agit toujours d’une plainte, et derrière cette plainte, d’un plaisir immense d’être encore en vie (ne serait-ce que pour pouvoir se plaindre). |
Compagnie « Le Pied de la Lettre » Cet atelier «sauvage» se présente comme un laboratoire en liberté, uniquement animé par la ferveur, l’exigence et la soif d’une dizaine d’acteurs en recherche constante d’exercice et d’approfondissement de leur pratique théâtrale. | Lucie Berelowitsch – Kurt/Landes Un solo de danse sur une demande de José. Alors il y aura de la danse, la musique de Sylvain Jacques, peut être un peu du journal de Kurt Cobain, un canapé rouge, peut-être des jolies filles, une guitare ou non, peut-être une chanson et ce que ça nous raconte, à nous, le corps de Guillaume sur un plateau. | Festival Urban Connexions FUC II est une plateforme de création et de partage, prônant l’ouverture et la libre expression. Créations hybrides et performances insolentes y attisent notre curiosité. |
Cie IDCore / Vlassov Anatoli « L’envers du dehors, solo chorégraphique pour un corps étendu » est une exploration des confins du corps dansant, depuis l’intériorité organique jusqu’à l’extériorité de l’espace. | Cie Polyformes Armelle Huet – Van Eecloo De solos en respiration vidéo, de métamorphoses en dépouillements, de dissimulations en révélations, décider enfin d’arrêter de jouer un rôle, laisser se fissurer le masque, le jeter définitivement pour se découvrir enfin lumineuse et épanouie, solaire… |
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